Dernières années...
Une révision d'une fin de vie à la fois riche et intelligente qui permet une meilleure connaissance de cet artiste incontournable :
http://institutions.ville-geneve.ch/fr/mah/expositions-evenements/expositions/gustave-courbet/?fb_locale=de_DE
1873 : l'Ogre de la Commune quitte la France après les turbulences de1871. Courbet fuit son pays qui l'a condamné après l'épisode du démontage de la colonne Vendôme. Pour l'Histoire de l'Art, l'exil suisse voit un artiste cassé qui ne peindra que des toiles alimentaires avant de mourir rapidement....Et pourtant!
Durant trois années, Courbet va multiplier les oeuvres. Le château de Chillon sera certes un motif alimentaire mais certaines versions sentent la grande peinture réaliste. De même, des lieux suisses seront immortalisés par le peintre qui montre encore une vigueur bien réelle.
Et puis, il y a la constitution d'un musée, à travers des copies de toiles de Maitres qui indiquent les amours picturales de Courbet. De même, celui-ci emporte dans ses valises de nombreuses de ses oeuvres qui lui tiennent à coeur et qui aujourd'hui sont disséminées dans la plupart des grands musées européens. Cette ouverture au public permet d'approcher cet homme qui veut transmettre son travail et son esthétique, de même que son inscription dans la vie de son lieu de résidence à travers quelques sculptures qui chantent ce pays d'exil et qui laissent entrevoir une envie d'un retour au pays natal.
Une révision d'une fin de vie à la fois riche et intelligente qui permet une meilleure connaissance de cet artiste incontournable :
http://institutions.ville-geneve.ch/fr/mah/expositions-evenements/expositions/gustave-courbet/?fb_locale=de_DE
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